Guérison de Françine (16)

Toinette et Jean partirent en courant chez Francine. 
Quand ils arrivèrent, leurs habits sentaient encore la vase. Mais Francine était trop faible pour les disputer.

Ils posèrent la pierre sur son cœur. Elle se sentit comme soulagée. Elle reprenait des forces à vue d’œil. Ses joues redevenaient plus roses.

Quand elle se sentit tout à fait bien et que les jeunes lui eurent raconté leurs aventures, elle les embrassa et remercia chaleureusement. Puis elle réfléchit :

- Si la vouivre trouve son escarboucle ici dans la maison, elle va se venger !
Le mieux, c’est de lui rendre la pierre. Ou alors, encore mieux, de lui faire croire que la pierre a roulé toute seule.

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